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VÉCU -

NOUS AVONS LA POISSE

Prescilia et Célia ont toujours des problèmes... Et si elles avaient la guigne ? 

Et eux aussi !

Prescilia et Célia ont la poisse. Mais pas autant qu'eux ! Retrouvez en vidéo le TOP 3 des plus poissards du monde.

La poisse, c'set comme la classe : on l'a, ou on l'a pas 

"On avait planifié notre voyage à Disneyland depuis des mois. Mais juste lorsqu'on voulait partir, grève des contrôleurs aériens. Improbable. Notre avion a été annulé. nous avons donc réservé un train. Et, au moment d'arriver à la gare, on l'a raté. Quelle poisse !"

PS : n'oubliez pas le bêtisier en fin de vidéo

Malchance 1 – 0 Sportifs 

Il arrive de se blesser, de perdre une compétition ou de subir le courroux d’un mauvais arbitrage, mais certains sportifs cumulent tellement d’incidents qu’on peut se demander s’ils n’ont pas tout simplement la poisse.

Eux aussi, ils ont la guigne ! 

Johnny Quinn, le prisonnier de Sotchi

Johnny Quinn n’est pas seul athlète à avoir connu des mésaventures avec les infrastructures douteuses de Sotchi, mais le sort s’est véritablement acharné contre lui. Un matin, le bobeur américain s’est retrouvé coincé dans la salle de bain de son hôtel. Sans téléphone, impossible de prévenir ses coéquipiers. Il a alors défoncé la porte en « mettant en pratique son entrainement de bobsleigh pour les poussées Â». Quelques jours plus tard, Johnny Quinn est resté bloqué dans l’ascenseur avec plusieurs de ses camarades. Visiblement, le village olympique lui voulait du mal !

L’ASM, l’histoire d’une malédiction

L’équipe de rugby à 15 de Clermont-Ferrand est devenue célèbre pour sa malchance légendaire lors des grandes compétitions Elle détient d’ailleurs le pire ratio de défaites en finale avec un taux de 93% d’échec. Que ce soit en championnat de France ou en coupe d’Europe, l’ASM, voit quasiment toujours le trophée lui passer sous le nez. Plus de 15 finales jouées et uniquement une seule de gagnée. Pour un club de ce talent, une telle débâcle ne peut s’expliquer que par la poisse. 

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Raymond Poulidor, pour lui la roue n’a jamais tourné

Raymond Poulidor, « Poupou Â» pour les intimes, connu comme l’éternel second du Tour de France a joué de malchance toute sa carrière. S’il a pourtant gagné 189 courses dans le monde, l’Hexagone s’est toujours moqué de lui. 14 participations, 8 podiums, mais pas une seule victoire. La faute à de petits détails d’infortune. En 1964, il oublie de faire un tour de piste au stade Louis II de Monaco et laisse alors échapper sa chance de gagner le Tour. Une chute, une crevaison et l’aide d’Anglade à Gimondi en 1965 le place une nouvelle fois à la deuxième place. Et en 1968, alors qu’il s’apprête enfin à remporter le Tour, il est renversé par une moto et est alors contraint d’abandonner. Décidément Raymond Poulidor ne devait pas monter sur la première marche, c’était écrit. 

Alexis Vastine, le combattant malheureux

Jeune boxeur pugnace, Alexis Vastine a plusieurs fois été écarté des podiums olympiques sur des décisions arbitrales hautement contestées. A Pékin en 2008, il atteint les demi-finales et se fait éliminer aux points d’une façon injustifiée. La délégation française porte réclamation, mais cela n’aboutit pas. En 2012, à Londres, la malchance frappe de nouveau. Il perd son combat en quart de finale sur décision de l’arbitre, violemment hué par le public anglais. Une réclamation est de nouveau faite par l’équipe de France, mais là encore, cela n’aura aucun impact. Après toutes ces défaites, Alexis Vastine sombre dans la dépression. Il retrouve seulement la forme en 2014 et se remet au sport de haut niveau. Il participe ensuite à l’émission Dropped de TF1. Mais lors du tournage en Argentine, il perd la vie dans un accident d’hélicoptères, en même temps que Camille Muffat et Florence Arthaud. 

Salim Sdiri, au mauvais endroit au mauvais moment

Salim Sdiri, détenteur de record de France de saut en longueur fait partie de ces sportifs qui ont vécu un événement traumatique extrêmement improbable. Le 13 (coïncidence, ou signe obscur du destin) juillet 2007, lors du Golden Gala de Rome, le jeune homme est empalé par un javelot fou alors qu’il attend son tour pour sauter. L’arme de 2 mètres de long, lancée par le finlandais Tero Pitkämäki s’enfonce de plus de 20 centimètres dans son dos. Il est transporté à l’hôpital en urgence, où il est opéré rapidement. Deux jours plus tard les médecins le renvoient chez lui. Une grossière erreur car son foie et son rein ont été sévèrement endommagés et continuent de saigner. Il est donc de nouveau opéré et restera ensuite plusieurs semaines à l’hôpital.

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Ce père de famille est un habitué des accidents. En 2010, alors qu’il marche dans un entrepôt sur son lieu de travail, une pile de casier s’écroule sur lui, fracturant sa jambe en mille morceaux. On l’opère alors pour ressouder son fémur avec une barre de fer, mais il se réveille avec une jambe plus courte que l’autre et doit alors repasser entre les mains des chirurgiens pour une égalisation. Un an plus tard, il a retrouvé la forme et part donc faire un tour de vélo. Dans une descente, un lièvre traverse et se jette sous ses roues. Impossible de l’éviter et Pierre S. se retrouve catapulté sur le bitume, tombant lourdement sur la tête. Le bilan est lourd. Traumatisme crânien, clavicule fracturée et sept côtes cassées. Après des mois de convalescence, Pierre S. retrouve sa mobilité et décide alors de faire quelques travaux dans les combles. Il marche alors au mauvais endroit et traverse le plafond au dessus de la cage d’escalier. Il se brise de nouveau trois côtes…

Pierre S.

Annecy, Auvergne-Rhône-Alpes

Le célèbre peintre français, était réputé pour ses œuvres, mais pas pour sa chance. A l’âge de 3 ans, il se pend avec une cordelette en jouant avec les rideaux. Il est sauvé à la dernière minute, mais quelque temps après, la moustiquaire de son lit prend feu, lui infligeant de sévère brûlures. Il part alors en convalescence à Marseille, où un domestique le fait tomber à l’eau par inadvertance. Il manque de se noyer, mais est repêché in extremis. Il retourne enfin à la maison et s’étouffe avec une grappe de raisin.

Eugène Delacroix

Saint Maurice, ÃŽle de France

C'était un athlète américain. En 1936, Hitler vient lui serrer la main après sa course aux Jeux Olympiques de Berlin. Il s’engage ensuite en 1941 dans l’armée de l’air. En 1943, son avion est gravement endommagé pendant une mission. Il est alors remplacé par un autre appareil, connu dans le milieu des pilotes pour être défectueux. C’est alors avec ce même appareil qu’il se crashe en pleine mer. Il dérive ensuite sur un canot de sauvetage pendant 47 jours, se nourrissant de petits poissons et luttant contre les requins. A peine débarqué sur la terre ferme, il est capturé par les Japonais, qui le torturent alors jusqu’à la fin de la guerre. Déclaré mort au combat, Louie Zamperini suscite la surprise en revenant sain et sauf aux Etats-Unis, où il est accueilli en héros. Angelina Jolie réalisera même un film sur son histoire, qu’elle appellera « Invincible Â».

Olean, New-York

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La malchance, ça les connaît... 

Le parcours d’un (heureux) poissard politicien 

Il était une fois un homme qui rêvait grand. Peut-être un peu trop grand ? Cette histoire, c'est celle de celui qui a toujours failli être mais n'a jamais été, c’est celle de Jean-Luc Mélenchon. Cette année, comme en 2012 il semblait avoir toutes ses chances lors de l'élection présidentielle.  Le Président de la France Insoumise est-il destiné à rester une menace fantôme ?

Cette présidentielle n’était pas sa première bataille. Au contraire, Jean-luc Mélanchon s’était déjà présenté à l’élection de 2012, cette fois-ci sous l’étiquette du Front de Gauche.  A l’époque il était alors arrivé en 4e position et avait récolté 11,1 % des suffrages, sans devancer le côté obscur, son rival d'extrême droite. Alors qu’il avait percé et avait été le « nouvel espoir » des communistes, il avait été distancé par ses collègues du parti socialiste. Un score qui avait alors très largement déçu ses supporters, qui étaient pourtant nombreux. Il avait dès lors hésité un moment avant de retenter l’aventure… énième erreur. Puisqu’en 2017, Jean-Luc contre-attaque : il décide de créer son propre parti, la France Insoumise, sans l’approbation des communistes. S’il avait à nouveau fait une montée fulgurante dans les sondages et bénéficié d’une côte de popularité sans précédant, ses hologrammes futuristes n’ont toujours pas suffit à séduire les électeurs. Soutenu mais finalement renié, Jean-Luc Mélanchon, désolé, les citoyens ont décidé de vous éliminez, cette décision est irrévocable, puisse la poisse vous accompagnez pour toujours. Une question, alors : assisterons-nous, un jour, à la revanche des insoumis ? 

Mélenchon : un nouveau désespoir ?

Si l’arc-en-ciel est généralement signe de bonheur, de paix et de joie, il est porteur de malheurs dans le monde du vélo. Celui qui décroche le fameux maillot multicolore (à l’issue d’un championnat du monde) voit sa vie évoluer de façon dramatique et devient victime de tous les maux. L’histoire commence dans les années 70 avec le sacre du belge Jean-Pierre Monséré. En 1971, à l’âge de 22 ans, il est tué en pleine course dans une collision avec une voiture alors qu’il porte le maillot arc-en-ciel. Ses successeurs ne seront guère plus chanceux. Après avoir porté le dit-maillot, Freddy Maertens ne retrouvera jamais son meilleur niveau, Stephen Roche fera une saison catastrophique, Laurent Brochard sera mis en cause dans l’affaire Festina, Paolo Bettini perdra son frère 10 jours après son titre, Alessandro Ballan contractera un cytomégalovirus, et bien d’autres seront attrapés dans des affaires de dopages ou connaitront un destin tragique.

Le maillot arc-en-ciel, véritable fardeau du cyclisme

Faire la couverture de Sports Illustrated n’est pas vraiment bon signe et promet des événements dramatiques dans les semaines à venir. La légende se forge en 1954, lorsque le joueur de baseball Eddie Mathews fait la une du magazine. Son équipe vient de remporter sa 9ème victoire consécutive, mais après son passage dans les kiosques, les Braves perdent leur match et Eddie Mathews se fracture la main. Depuis, la liste des sportifs victimes de malchance après avoir fait la couverture est longue. Les Cleveland Indians perdent 101 matches en une saison, le pilote Pat O’Connor se tue lors d’une course automobile et de nombreux sportifs se blessent où contractent des maladies graves. 

Depuis 1962, le club de football de Lisbonne ne s’est plus imposé en Europe. L’origine de cette malédiction ? L’entraineur hongrois Bela Guttman. Après un différend financier, il quitte la Benfica avec haine et lance dans un accès de rage : « sans moi, la Benfica ne gagnera plus une finale européenne ». Une phrase maudite qui portera bien ses fruits. Cinq défaites en finale de C1 et une en coupe UEFA. Après tant de malchance, le joueur portugais Eusébio serait même allé s’excuser sur la tombe de Bela Guttman. Un geste désespéré, mais inutile car la malédiction est toujours là !

La Benfica, le club maudit 

En 1945, une malédiction s’abat sur les Cubs de Chicago (Baseball), à cause d’un commerçant local. Billy Sianis, propriétaire d’une chaîne de bar se rend au match accompagné de sa chèvre de compagnie. Mais plusieurs spectateurs incommodés par l’odeur de l’animal le forcent à quitter le stage. Furieux, il déclare : « ces Cubs, ils ne gagneront plus jamais » ! Une prophétie qui s’est révélée exacte et se poursuit toujours à l’heure actuelle.

La légende de Billy Goat

Lorsque le joueur d’Arsenal, Aaron Ramsey marque un but, une célébrité décède le lendemain. Une malédiction morbide qui a démarré en 2011 et qui s’accroche depuis à l’international gallois. En six ans, ce phénomène s’est déjà observé avec Oussama Ben Laden, Mouammar Kadhafi, Whitney Houston, Robin Williams, Paul Walker, David Bowie, Alan Rickman et la dernière en date, Nancy Reagan. Un « palmarès » qui commence à devenir inquiétant !

Aaron Ramsey, la grande faucheuse

Sports Illustrated, chat noir des sportifs

SPORT, MALÉDICTIONS ET SUPERSTITIONS

Dans le milieu sportif, on accorde une grande importance à la superstition. Nombreux sont les champions qui attribuent des raisons irrationnelles à leur réussite ou, au contraire, à leurs échecs. Objets fétiches, rituels ou malédiction, pour certains, le succès dépend souvent d’une force supérieure.

BASILE

BOLI 

Du début à la fin de sa carrière, le joueur de football a porté le même slip à chaque match. Dans une interview pour France Football, Basile Boli confiait : « c’était un slip blanc, raccommodé de partout. C’était le slip que je portais lors de mon premier match professionnel avec Auxerre ». Un slip porte-bonheur donc, avec lequel il a remporté la ligue des champions avec Marseille en 1993.

Côté politique

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Après le côté historique, économique et sportif de la poisse, une chose est sûre : ça peut arriver à n'importe qui, n'importe où et n'importe quand. 

Les politiques, d'ailleurs (payés comme des sportifs) ne sont pas en reste. Et ils ont dû donner de leur personne, sur le terrain. 

Grands sportifs, petites superstitions

Les pros et leurs travers cachés

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